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 Textes o/

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MessageSujet: Textes o/   Textes o/ Icon_minitimeMar 7 Mai - 17:18

J'écris pour... Le plaisir d'écrire x') Et aussi pour parler :culotte:

Je ne tolère aucun plagiat. Nan sérieux, si quelqu'un plagie ces textes, je jure de le retrouver et de lui arracher les veines de la gorge ._.


Texte N°1 [Non vécu]

Je ne sens plus rien que la force ténèbreuse qui pèse sur ma poitrine. Je n'entends plus que les battements ratés de mon coeur. Je ne goûte plus qu'au sang qui me coule dans la bouche. Je ne souhaite rien, rien à part tout oublier et tout recommencer. J'aimerai m'endormir et pourtant espérer un jour me réveiller. Même si tout était écrit sur la pierre et la soie, que c'était comme ça et que je viens simplement de comprendre que mon destin est indéviable du chemin de la Mort, j'aimerai espérer, un jour, revenir vers toi comme si rien ne s'était passé. Mais je sais que c'est impossible. A ce moment présent, je voudrais sentir la texture d'un micro sous ma main, sentir la dureté d'une scène sous mes pieds et d'entendre rugir les applaudissements à mes oreilles. Je suis née pour la gloire, je ne suis pas censée mourir comme ça, seule dans ma chambre. Alors même si la chance nous sourie depuis notre naissance, on peut mourir d'une façon atroce ? On peut mourir esseulée du reste du Monde ? On peut mourir sans que personne le sâche ? Mon départ attristera des gens. Attristera mes admirateurs. Jamais plus je ne me montrerai. Jamais plus je ne chanterai. Je suis connue du Monde entier. Mais pas ma famille. Demain, ce seront leurs proches qui seront triste de les voirs pleurer. Je ne veux pas que ce soit leurs proches. Demain, je voudrai que ce soit le Monde entier qui soit à leur écoute, qu'il respecte leurs sanglots et leurs prières.
Alors je vous en conjure : Oubliez.

Texte N°2 [Non vécu]

J'ai jamais comprit les filles aux lèvres "glossées" qui passent leurs vies devant un miroir dégueulassé par leurs rouges. Vous vous plaignez d'avoir un bouton mal placé ou d'être trop petite, trop grande, trop maigre ou trop grosse. Vous êtes jamais contente, le moindre défaut vous fait penser au suicide. La vie n'est pas un jeu mes cocottes. La vie est un Hunger Games ou c'est soit la victoire, soit la défaite. Vous, vous avez la victoire, tant mieux pour vous, mais pensez à ceux qui ont hérités de la défaite et dont leur destin est tâché par la mort. Vous, vous n'avez pas de problème. Moi je vais mourir. Il ne me reste que quelques mois, quelques semaines, quelques jours, quelques minutes peut être. Je suis atteinte d'un cancer, oui. Incurable, je ne m'en sortirai pas. Ecoutez-moi bien. Si je pouvais être petite, grosse, moche et détestée du Monde au lieu de mourir, je le serais. Vous ne comprenez pas la chance que vous avez de sentir la vie en vous, vous les filles, les filles crâneuses et qui seraient prête à s'achever pour un truc de rien du tout, pour un chagrin d'amour, un bouton, une imperfection de la peau. La vie n'est pas une punition, des personnes se battent pour la conserver, et vous ? Vous, vous la gâchez sans penser à ceux qui aimeraient avoir votre chance. Bon sang, ne comprenez-vous pas la chance que vous avez de pouvoir respirer, de pouvoir aimer, de pouvoir rire, de pouvoir pleurer, crier ? Arrêtez de vous plaindre et pensez aux gens qui meurent chaque jour à leur grand désespoir.
S'il vous plait... Pensez aux autres.

Texte N°3 [Non vécu]

Parfois la vie est cruelle. D'autre fois, elle est injuste. Tu étais jeune, la mort, tu ne la méritais pas. Tu aurais du te battre plus longtemps encore, continuer à vouloir garder tes yeux bleus ouvert pour encore quelques jours. Tous les jours, je venais te voir. Tu disais que ça aller, que tu allais t'en sortir pour moi. Pourquoi le mensonge fait-il si mal et est si facile à gober ? Je t'ai cru sur toute la ligne, ce n'est pas juste. J'aime pas qu'on se fiche de moi. Tu te rends compte ? J'ai apprit ça par téléphone. On m'appelle, on me dit que t'es morte. J'suis désolée, mais j'peux pas le supporter. Je pleurais chaque jour en pensant à toi. J'ai cru par moment que je n'allais pas m'en sortir. C'est grâce à toi que je suis ici aujourd'hui, encore debout.
J'aurais aimé te dire que je t'aimais, mais la vie ne m'en a pas laissé le temps.

Texte N°4 [Non vécu]

Quand on est enfant, on croit qu'on est différent, qu'un destin hors du commun nous attends. Ce sont les rêves de jeunesse. La réalité, cependant nous rattrape quand on grandit et on se sent ridicule. Ridicule d'avoir rêvé d'être connu ou même de ne pas être humain, oserais-je dire. Arrêtez de croire que vous êtes le fils de superman ou le neveu d'un ancien président. Arrêtez immédiatement de penser que vous êtes le descendant d'une longue lignée d'Alpha qui n'a cessé de se perpétuer jusqu'à maintenant. 99% de la population se font des films, seulement 1% ont vraiment quelque chose d'hors du commun ou qui sont l'héritier d'une lignée puissante. Je me demande vraiment pourquoi, vous, vous croyez tant que le Monde est peuplé de gens surnaturels. Pourquoi tant de films, pourquoi tant de croyances ? Si vous vous retrouvez en des lieux improbables, c'est parce que le destin vous y a donné rendez-vous.
Tout simplement.

•____________________________________________•


Les autres textes qui vont suivre ont tous été vécu.

Texte N°5


Parfois j'ai envie de d'étriper. Autre fois, de te tuer. Un coup tu peux être gentille, la seconde d'après arrogante au possible. Tu te crois tout permis et passe ton temps à provoquer les autres. Tu as certains pouvoirs que les autres n'ont pas et tu en profites pour faire ta maligne. Tu menaces les gens, mais à l'intérieur de toi, tu n'es qu'une trouillarde qui ne vaut pas un clou. Tu es souvent responsable des disputes et ne sait pas te tenir. Tu te fais ensuite passer pour la victime et ton petit jeu fonctionne sur tes amies. Elles te croient, elles sont ignorantes et j'ai un goût amer dans la bouche lorsque j'y pense. Tu fais tout pour que tes ennemis se retrouvent dans de mauvaises passes et soient accusés de choses qui n'ont jamais eu lieu. Pour ça, tu serais prête à tout faire.
Laisse-moi te dire ceci : Tu n'es qu'une lâche, une demeurée, une crâneuse, une pouf, une pétasse. Je te conseilles de bien surveiller tes p'tits jeux avec moi.

Texte N°6

Je ne compte plus les jours qui s'écoulent sans que tu me hantes. Ma vie était bien jusqu'à ce que tu arrives. Depuis ce jour, je ne sais plus du tout où j'en suis et ça me perturbe grave. Ma tête explose à chaque fois que tu m'adresses la parole. Tout c'que je voudrais, c'est que tout redevienne comme avant. Ces jours, ces années sans toi dans ma vie, sans toi pour venir me destabiliser et me faire doûter. Je ne sais plus distinguer l'admiration, l'amitié et l'amour. Je n'arrive pas à savoir si ce que je ressens est bien ou mal. Je n'arrive plus à survivre sans me demander si un jour, tu arriveras à sortir de mes pensées, déjà en fouilli.
Alors s'il te plait. Ignores mes paroles incompréhensibles et bases-toi sur le simple fait que parfois, l'amour est inexistant, même si l'on voudrait qu'il existe...

Texte N°7

Parfois, j'pense vraiment à toi. C'est vrai, tu me manques. T'étais une bonne amie, même si arrivées en CP, on s'est séparées. On s'est connues... 3 ans, mais c'était déjà bien assez pour que mon coeur s'accroche au tien. D'accord, on n'était qu'en Maternelle, mais même à cet âge là, on comprend bien que des liens à jamais brisés se forment, malgré nous. J'me demande comment je fais pour avoir tant de souvenirs que ça de toi, et à ce moment, comment je fais pour écrire ce texte. Le bruit des touches que je clapotent me font frissonner et j'ai limite la larme à l'oeil. Parce que tu me manques. J'aimerai tellement te revoir, ne serait-ce qu'une fois. Qu'es-tu devenu ? Sais-tu que maintenant, j'écris et je chante ? Sais-tu que maintenant, j'ai trouvé ma voie ? Sais-tu que j'ai connu la souffrance, la douleur, l'amour, la joie, la déprime ? Et toi, que fais-tu de ta vie ? Que fais-tu de ton destin ? J'aimerai tant le savoir. Mais c'est impossible.
Et c'est ça qui me fait souffir. Putain c'que ça me fait mal...

Texte N°8

De ma naissance à mes 6 ans, tu as été là pour moi. C'est toi qui me gardait, car je n'aimais pas les baby sitters. C'est vrai, elles me faisaient peur ! *rire* Du coup, tu étais là, tu me gardais. Tu me faisais ma quiche préférée, il n'y que les tiennes que je mangeais. Eh oui, tu étais la reine des Quiches ! Oh, sans mauvais jeu de mot hein Tata. C'est toi qui m'a fait découvrir le Roi Lion. Oui, c'est grâce à toi. Tu m'as prêté les cassettes que je garde encore en ce moment, comme seul et unique souvenir de toi. Seulement voilà. Tu as divorcé. Tu n'étais pas la soeur de mon Père, donc c'est toi que j'ai perdu de vu. Et non mon Oncle. Dès ce jour, j'étais peut être trop petite pour comprendre, car je n'ai pas pleuré. Ce n'est que vers mes 9 ans que j'ai sentie une lésion dans mon coeur, la lésion, c'est ton absence. Elle ne s'est jamais refermée. Je ne pense pas tous les jours à toi, mais dès que ton visage vient traverser mes pensées, les larmes coulent. C'est pour celà que j'évite de fouiller dans ma tête lorsque je suis en public. Je ne pleure jamais Tata. Pas en public. Si les larmes doivent couler, je les retiens et je m'enferme dans ma chambre. Tiendrais-je ça de toi ? Cette dignité qui m'empêche de souffrir devant les autres ?
Je t'aime, tu me manques, reviens...

Texte N°9

Tu étais ouvert, gentil, aimable et drôle. Toujours là pour aider les autres, je t'ouvrais mon coeur au moindre problème. Tu y trouvais la solution à chaque coup. Mais lorsque tu t'es séparé d'"elle". Tu as changé... Tu n'es plus le même. Tu t'es renfermé, tu es devenu violent, agressif, méchant. Tu as commencé à devenir distant de tes proches, de tes filles, de moi. Et ça, j'en souffre. Mais tu n'as pas l'air de t'en rendre compte. Tu sombres dans le désespoir. Tu crois que c'est comme ça que tu vas recommencer à vivre ? Faut tourner la page Tonton. Ne laisse pas la déprime te gagner, j'ai pas envie qu'un jour, on m'apprenne que tu t'es suicidé. Non j'veux pas. Ça serait trop dur. Même si tu n'es plus le même, même si je te méprises, même si je te déteste...
Je t'aime. Alors reviens-moi. Reviens, toi, celui que j'ai connu et que j'ai aimé. Car d'une partie... Tu es partie.

Texte N°10

Tu n'avais beau être une personne qui enseigne les cours, pour moi, tu étais plus que ça. Comme une deuxième mère, si je peux dire ça comme ça ? Lorsque j'avais un problème, tu le repérais aussitôt et tu me demandais si je voulais t'en parler. Pour les autres, cela semblait ridicule, mais pas à mes yeux. Tu étais tout pour moi, je te délivrais mes souffrances comme mon admiration. Tu me consolais. Même une fois en classe de neige, lorsque je n'arrivais pas à dormir, que je déprimais, tu es restée près de moi le reste de la nuit et on a parlé, encore et encore. Voilà pourquoi j'ai pleuré, pleuré lorsque c'était les grandes vacances. Car je savais que l'année prochaine, c'était le collège et que je n'allais plus te revoir.
Mais tu restes à jamais dans mon coeur.

Texte N°11

Toi, oui toi. Toujours là pour moi, toujours là, entrainant les autres dans ta bonne humeur. Je n'ai parfois pas le moral et n'arrive cependant à me faire entrainé dans cette vague rose qui t'entoure, mais te voir sourire et rire me réchauffe tout de même le coeur. Te savoir malheureuse me perturbe et je me pose des questions. J'ai besoin de te voir pour me sentir bien, j'ai besoin de te savoir en pleine forme pour en oublier quelque temps mes problèmes. Tu ne les évapores pas, mais tu les camoufles sous un drap rosâtre. Nous sommes si différentes l'une de l'autre, cependant un truc nous unifies : Garou *rires* Nan mais c'est vrai, nous sommes toutes les deux fan de Garou ! D'ailleurs, comme le dirait le chanteur, "jusqu'à me perdre, j'irais jusqu'à me perdre pour ne pas te perdre, je jouerai ma vie contre ta vie."
C'est pour ça que je te dédie cette chanson.

Texte N°12

Souvent, je repense à toi. Lorsque j'étais jeune, une partie de moi t'adorais et l'autre te détestais. J'comprenais franchement pas pourquoi ce combat se déroulait en moi. On passait notre temps à se provoquer, et pourtant, on passait notre temps libre ensemble. Oui, c'était très bizarre, je confirme très cher.
Mon coeur se serre lorsque je songe à toi. Penses-tu parfois à moi ? J'voudrai bien savoir si t'as changé.
Non, ton prénom ne me hante pas chaque jour, ni même chaque semaine. Mais lorsqu'il est là, c'est dur. Et tu as bien comprit que si je peux écrire ce texte aujourd'hui, c'est que je ne suis pas restée indifférente à toi et qu'à ce moment là, tu es en moi. C'était une amitié, ou autre chose, je n'arrive pas à le détecter. Tout ce que je sais, c'est que tu éprouvais la même chose.
Je l'ai, jadis, lu dans tes yeux bleus...

Texte N°13

Tu te prends pour qui au juste ? La Reine d'Angletterre ? Quand j'vois comment tu t'occupes de tes filles, ça me donne envie de vomir à tes pieds. On n'est pas tes esclaves. Tu caches bien ta vraie personnalité. Tu crois peut être que j'ai pas comprit qui t'étais ? T'es débile ou quoi ? T'as vu comment tu traites tes enfants ? Tu les frappes, tu les insultes. Mais ça, tu ne le fais que lorsque les autres ont le dos tourné. Oooh... C'est bête, un jour, je t'ai vu. Je t'avoue que sur le coup, j'ai eu peur, je ne savais pas ce que tu allais m'faire. Mais rien. Parce que j'suis pas ta fille. Putain Emilie, j'te promets une chose. Si un jour tu me traites comme ça, j'te jure que je me défendrai. J'me laisserai pas faire. Tu me prends pour une faible ? Je sais me battre, alors assures tes arrières.
Espèce de charogne.

Texte N°14

Je ne sais pas si des excuses pourront effacer les blessures que j'ai laissé sans pitié dans ton coeur. Ton coeur si épargné des coups de souffrance en a prit un coup. Oui, je le sais et j'en suis la responsable. J'assume. Maintenant quand on se croise, c'est pas un regard noir que tu me lances, c'est un regard humidifié par les larmes. T'as pas comprit ce que je voulais dire quand je t'es dit "J'peux plus continuer avec toi, t'es pas mon avenir." La seule chose que tu as réussit à faire, c'est de laisser échapper un sanglot et de te casser en courant. C'est que maintenant que je réalise à quel point je t'ai blessé. Et quelque part, je le regrette. Mais j'pouvais pas continuer avec toi. Je t'ai laissé tomber parce que je me suis rendu compte que j'étais amoureuse de quelqu'un qui détient 5 années de plus que moi (oui c'est assez gros. Et alors ?) depuis plusieurs années, huit pour être exact. Oui c'est beaucoup, mais il arrive que les sentiments ne s'évaporent pas. Et être amoureuse de deux mecs en même temps, bah écoute mission impossible. Et t'étais pas fait pour moi, alors voilà.
Au revoir.
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