Nom ◇ Temps Perdu
Clan ◇ Herbes
Rang ◇ Guérisseur si possible sinon guerrier
Âge ◇ 22 lunes
Sexe ◇ Mâle
Origines ◇ Inconnues

Caractère ♪

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Temps Perdu est un mâle qui n'aime pas les complications. Il préfère se fondre dans la masse plutôt que de revendiquer sa marginalité. Il déteste également le contact physique avec les autres félins, ça le révulse au point de le faire vomir quasiment. Ne serait-ce que frotter sa fourrure, même à celle de son oncle, le dégoûte à un point inimaginable pour quiconque d'autre que lui. Il évite donc les gens, ce que son boulot de guérisseur lui permet à merveille. Lorsqu'il touche ses patients c'est uniquement pour les soigner et cela lui convient très bien. Il a l'odorat très développé et adore sentir les diverses plantes qui tapissent sa réserve.
D'un naturel faussement gentil il préfère cacher ce qu'il est par un sourire de façade. Observer plutôt qu'agir, voilà sa façon d'être. Il a l'art et la manière de se faire oublier, rapide et silencieux il est malgré tout timide et peu audacieux seul. Une fois en groupe, c'est autre chose. Mais encore faudrait-il qu'il accepte ledit groupe. Il est curieux, très voir trop curieux. Il adore espionner les autres chats mais rentre dans une colère noire lorsqu'il se retrouve pris dans son propre piège. Il est naturellement indifférent sauf quand on le laisse parler, là il se révèle un sadique de première catégorie.

Physique ♪

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Temps Perdu est un chat plutôt petit et fin. Il l'est tellement qu'on pourrait compter tout les os de son corps s'il n'était pas un tant soit peu trapu. En effet malgré son statut de jeune chat il a déjà de beau muscles qui se dessinent, mais pas des muscles fait pour le combat, plus pour la course. Il aime courir, je dirais même qu'il adore ça. Sentir le vent dans sa fourrure est l'une de ses plus grande passion. Il a le poil mi long et d'une magnifique couleur encre qui reflète de façon agréable le clair de lune. Ses oreilles ont une taille raisonnable et sont encore toute rose à l'intérieur, car il garde une apparence de grand chaton malgré son rang. Sa langue est toute rose et ses crocs bien blanc, comme ses griffes.
Il paraît être un jeune chat tout à fait banal mais quand on monte notre regard d'un cran on remarque qu'il porte une sérieuse balafre à l'oeil droit. Il est d'ailleurs presque tout le temps fermé, contrairement à son autre oeil qui est d'un vert luisant. Ses moustaches sont grisâtre et ses pattes fines et plutôt petite. Ses coussinets semblent tout neuf, comme si il ne marchait jamais ou qu'il volait.

Histoire ♪

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Prologue: je m'appelle...

Je m'appelle Temps Perdu. Désormais je suis guérisseur. Je n'aime pas grand monde dans mon clan et vis reclus dans mon antre. Mais ça, c'est la fin. Ma vie n'a pas toujours té ce qu'elle est aujourd'hui. Je n'ai pas toujours eu ce nom, ni cette taille, ni cette haine en moi que je n’extériorise pas. Qui pourrais imaginer, Temps Perdu l'invisible, apprenti? Pire même, chaton tétant sa mère? Eh bien personne. Pour la simple raison que mon passé ne concerne que moi. Mais approchez, approchez, aujourd'hui je suis disposé à vous laisser m'écouter. Je suis très jeune et peu mature, pourtant aujourd'hui je vais prendre la place des ancien qui conte au petits, leurs histoires de jeunesse. Ecoutez, c'est l'histoire d'un chat meurtri mais soulagé.

Chapitre 1: je viens d'ici et pourtant je suis né ailleurs.

Mon enfance se résume en un mot: noir. C'était tout le temps le noir. Jamais de toute mon enfance je n'ai pu mettre une patte dehors. Ce lieu oppressant était, d'après ma mère, une grange où venait fréquemment de très gentils humain. Mais c'est quoi, un humain? C'est un animal étrange, qui cri tout le temps et qui se tient sur ses deux pattes arrières. Il venait souvent, mais que la nuit. Il ouvrait la porte de la grange, criait quelques paroles bizarres, frappait mon père, caressait ma mère, puis repartait. C'était tout ce que je voyais. Le jour ma mère sortait et mon père se remettait des traitements de la veilles, nous, nous devions surveiller qu'il ne bouge pas trop et ne pas nous battre. Il y avait d'autre chatons. Mais, d'après mon père, ce n'était pas les siens. C'était ceux de ma mère avec un autre chat.

Je n'avais alors que quelques mois pour parler en humain. Je ne comprenait pas bien pourquoi ma mère partais tout les jours. Parfois elle revenait accompagnée mais elle ne laissait jamais entrer l'autre matou. Au début je croyais que c'était des amis de ma mère. Mais en les voyant tout les deux je compris bien vite que ces chats n'étaient que les marionnettes de ma mère, comme nous l'étions tous. Moi, mes demis frères, mes demies soeurs, mon père... Même les humains étaient ses jouets. Révulsé par leurs multiple contact et par notre dortoir trop serré je commençais alors à développer ce qui fait maintenant de moi un asocial. Un dégoût profond pour le contact avec les autres chats.

Les jours, les mois, peut être même les années. Tout s'enchaînait sans que jamais cette femelle dont je n'oublierais jamais rien ne nous laisse sortir. J'ai très peu de souvenirs de mon père. Quasiment aucun. Il était allongé dans la grange tout le temps, et quand il était remis il essayer d'attaquer cet humain qui venait nous nourrir. Il était maigre, mis jamais je n'ai distingué sa fourrure ou ses yeux. Jamais il ne m'a regardé. Peut être n'étais-je pas son fils après tout. Mais je faisais comme tout le monde: je l'appelais papa. A quoi bon faire le marginal? Les ennuis, très peu pour moi merci. Ma mère je me souviens très bien d'elle. Elle s'appelait Belle. Sa fourrure était d'un blanc éclatant, c'était la seule lumière que j'ai jamais vu. Elle avait la fourrure douce et bien soignée, sauf quand elle rentrait de ses excursions de journée. La elle était bizarre.. Essoufflée, la fourrure en bataille, ses yeux bleus glace ne reflétaient plus que l'apparence de son dernier jouet.

Chapitre 2: Et je vis la lumière.

Un jour mon père mourut. Et cela n'atteignit personne. Sauf moi. Mais je préférais ne pas le montrer, après tout si tout le monde s'en fichait, pourquoi y attacherais-je une quelconque importance? Ma mère commença à ramener des chat à la grange. Ils déguerpissaient dès que l'humain arrivait mais ils étaient bien là. Et moi ça me révulsais. Elle nous disait qu'il fallait les appeler papa. Mais déjà l'autre chat je ne savais pas si c'était vraiment mon père, pourquoi ce matou que je n'ai jamais vu aurait-il ce genre de faveurs? Ce fut à ce moment là que je décidais de me rebeller. Après tout, j'étais trop comme tout le monde. Ce n'était pas bon du tout. Mais avant de fuguer je devais me renseigner. Je jouait donc le jeu, et le jour où elle ramena un félin blessé j'accouru vers lui.

«-Papa! Pourquoi t'es blessé?
-Je suis un chat des clan, je tiens cette blessure d'un ancien combat.»

Je soutins sans mal le regard insistant de ma mère. Non je ne comptais pas lui ficher la paix, un clan? Je voulais tout savoir, pour pouvoir voir la lumière le plus vite possible! J'en avais assez du noir, rien que du noir, de ne voir personne d'autre que ma famille qui s'agrandissait à chaque fois que ma mère rencontrait un nouveau félin. Je ne connais même pas le nom de ceux avec qui je joue. Je ne sais pas quel âge ils ont. Je ne sais pas de qui ils sont. Je sais juste que eux ma mère a bien voulu les garder. Savez vous combien d'entre nous on périt parce qu'elle ne voulait pas s'en occuper? Parce qu'ils étaient laids? Trop pleurnichards? J'en ai vu mourir alors qu'ils n'avaient même pas encore respirés. Une vie qui s'achève encore plus vite qu'elle ne commence. Mais rassurez vous, où que vous soyez, vous avez moins souffert que nous, les élus.

Les jours passait et ce félin de clan venait de plus en plus souvent. Ses histoires ne passionnaient personne sauf moi. Ma mère commença alors à me remarquer. Je sorti du lot pour elle, parce que moi je l'appelait papa. Parce que moi je m'intéressait à un des chats qui avait éveillé sa curiosité. J'apprit très vite qu'il s'appelait Cœur de Pierre. Un très beau nom. Mais pourquoi composé? Après lui avoir parlé j'avais toujours des milliers de questions dans la tête. Mais la première qu'il m'a inspiré c'était "et moi, j'ai un nom?". Notre mère ne nous appelait jamais. Elle ne nous parlait jamais. Ne s'adressait pas à nous, ses fils et filles. J'ai décidé que je voulais un nom. Un nom aussi classe que celui de mon beau père actuel. Pas un nom de domestique. Pas un nom de chat sauvage. Quelque chose qui en jette...

Un soir, tout le monde dormait. Tout le monde sauf moi. Parce que pour moi, c'était le grand soir. Le jour où je comprendrais enfin ce qu'est la lune. Ce qu'est le soleil, comment c'est dehors, sur quoi on marche. Je regardais Blanche. Son pelage la trahissait dans l'obscurité. Coeur de Pierre était resté dormir avec nous, ils étaient blottis l'un contre l'autre. Cet idiot de la forêt la croyait-elle vraiment fidèle? Pathétique. Je me levais alors, bousculant un de mes frères et une de mes soeurs. Deux paires d'yeux verts s'allumèrent. Nous nous observâmes ainsi pendant quelques instants, ils me sourirent et se rendormirent. Pourquoi me laisser partir? Pourquoi ne pas vouloir que je partage leur malheur? Ils avaient pourtant mon âge ou presque...

Après m'être remis les idées en place je me dirigeais vers la sortie. Poussant discrètement la porte de la grange je la franchit quelques instants après, sentant un regard inquisiteur me brûler la fourrure. Mais je n'y pensais plus, je préférais regarder la lune. Contempler cette herbe si verte et fraîche. Je me mit à courir lorsque quelque chose retenti derrière moi. Quelque chose qui n'augurait rien de bon.

« Noir! »

Noir? C'est qui ça? Je ne connais pas de chat qui s'appelle Noir moi. Je me retourne quand même et observe, curieux, mon beau père. Cœur de Pierre me regarde. Il a un regard froid et méprisant. Je remue les moustaches. Nous sommes à au moins trois queues de renard d'un de l'autre. Que compte-t-il me faire, ce vieux chat tout rabougrit qui n'a que ma mère pour assouvir ses passions de mâle? Il soupira.

« Reviens. »

C'était là visiblement tout ce qu'il avait trouvé pour me faire revenir. Je le toisait, l'air dur et en même temps ironique. Un rire m'échappa alors. Je me retourna vers lui, un sourire sadique au coin de mes babines noires.

« C'est Blanche qui t'as demandé de me ramener hein? Eh bien je ne compte pas revenir, moi. Je ne suis pas, Noir. J'ai perdu assez de temps à contempler le noir et les amour frivoles de cette chatte des villes. Moi j'ai envie de vivre ma vie pleinement. »

Son air désolé me coupa dans ma tirade. Pourquoi me regardait-il comme un père triste de voir partir son fils? Mon père, c'était cette loque qui combattait vainement l'humain tout les soirs et qui en est mort. Ce chat là n'est pas mon père. Il ne peut pas l'être, je ne l'avait jamais vu. Pourtant il est noir, comme moi. Ma mère a les yeux verts, comme moi. Et nous avons la même corpulence. Un doute s'immisça en moi alors que l'imposant félin s'approchait de moi. Qu'allait-il me faire? Me traîner par la peau du cou pour retourner à cette vie d'ennuie, cette vie noire? Non. Il me donna un coup de langue entre les deux oreilles et sourit

«Va au clan des herbes. Tu continues tout droit puis au grand chêne tourne à droite. Ils ont tous la même odeur que moi, dis leur tout simplement que tu es mon fils. Maintenant pars.»

Je n'en croyait pas mes yeux verts mais j'obéis et partis en courant sans un regard derrière moi. Me retourner, c'était renoncer à mes rêves.

Chapitre 3: J'arrive et je m'installe.

Je finis par arriver sur un territoire qui sentais exactement comme Cœur de Pierre. Je compris que je devais être arrivée sur les terres du clan des herbes. Épuisé je fis un légère halte, il me fallait me reposer. Après tout l'aube pointait à peine. Tant de question bourdonnaient dans ma tête que j'en oubliait que je risquais de me faire tuer à tout moment. Le sommeil ne vint pas me chercher, mes yeux restaient grands ouverts à fixer l'aube qui naissait à peine.

C'est alors que quelque chose de, il faut bien l'avouer, très lourd, me bondit sur le dos. C'est quoi ça? Un mutant? Un monstre? Bien décidé à ne pas me laisser faire je me débattis du mieux que je pu mais il était au moins deux fois plus fort que Cœur de Pierre celui là! Notre petit combat de force dura jusqu'à ce que lui ose sortir les griffes. Après avoir vu ses petits couteaux au dessus de moi j'ai un grand noir. J'ai perdu connaissance. Je ne suis revenue à moi que plus tard et j'étais dans un tanière qui sentais les arbres, les plantes. Je savais sans même ouvrir les yeux que j'étais entouré de trois félins. Lorsque j'ouvris les yeux une douleur indescriptible me pris. Je ne pu ouvrir qu'un seul de mes deux yeux. Je compris que le félin qui m'avait attaqué était là et se faisait sermonner par ce qui semblait être le meneur de cette tribu.

A première vue j'avais 16 lunes. Je n'avais pas une très bonne vue. Et je n'ais toujours pas une très bonne vue. J'avais un odorat hors du commun. Et une vision nocturne égale à celle des chouette. Ou chauve souris. Je n'avais pas de force spéciale. Donc au final je décidais de devenir l'apprenti du guérisseur. Il connaissait Cœur de Pierre. Tant mieux pour moi, je fus vite accepté. Malheureusement mon mentor était vieux. Il devait tout m'apprendre très vite. Discipliné et obéissant ces six lunes d'apprentissages à ses côtés furent très instructifs. Heureusement j'avais déjà quelques connaissances personnelles. Sinon je n'aurais pas le savoir dont je jouit aujourd'hui. J'ai pris la place de mon mentor, gardant cette blessure qui me fait haïr le camarade qui me l'a faite. Je suis désormais Temps Perdu, c'est le nom qui m'a été attribué après que j'ai raconté mon histoire. Je suis le guérisseur du clan des herbes. Et je n'ai confiance en personne, mais je les soignent aveuglément.

Partie vous. ♪

Prénom ◇ On m’surnomme Dodo c’est tout ce que vous saurez ^^
Puf ◇ Soka
Âge ◇ 17 ans et demis
Activité ◇ Bonne ?
Comment as-tu connu le forum ? ◇ Partenariat avec WH
Codes du règlement ◇ Validés.
Autre ? ◇ J’aime bien les membres que j’ai vu :D