Pour cette journée mon mentor m'avais laissé quartier libre, je l'avais passer à chasser pour la mâtiné et à bavarder et roupiller pour l'après midi, surtout roupiller à vrai dire car les autres avais des corvées ( et pour certain un partie de mes corvées ). J'étais donc resté là, sur ma litière de mousse douce, dans le coin le plus confortable du domaine des apprentis. Le temps était gris, peu joyeux, une lumière blanchâtre, éblouissante et désagréable éclairait l'atmosphère aujourd'hui, j'étais tout aussi bien dans la structure aménagé à notre égare protègent du vent et un minimum de l'humidité. De toute l'après midi je 'avais fourré le nez dehors qu'a deux reprises: La première pour demandé ( 'fin c'est synonyme de ordonner quoi ) à Nuage de Marron [PNJ] de faire mes corvées de litières et la deuxième pour observer distraitement le passage de Petite Fraise au stade de novice. J'étais vite retournée à mon dodo. Quoi qu'il en soit je fus vite, enfin au bout de deux heures ( environ ) de mon sommeil à cause du boucan que faisait quelque gamin piailleurs à l'entrée de notre abri.  Il faisait les caïds en refusant de laisser la p'tite nouvelles entrer et montrer leurs force. C'étais pitoyable. En plus montrer leurs force en s'attaquant à un petiot sans connaissance et à plusieurs...Pfff. Quand en plus au final c'est la gamine qui fou un tronc [ bah oui les chats cuisine pas de tartes o/ ] à l'autre zigoto, qui à je précise deux lunes de plus... C'étais assez distrayant et comique, bien que l'on est perturbé mon splendide rêve. Le matou étais minable écrasé au sol, la fourrure immaculé du sang de Nuage de Fraise mais surtout du sien. Ses copains, une bande de nuls qui ce la jouer à la ringards, le transportèrent chez la guérisseuse. Les deux combattants auraient sans aucun doute des ennuis mais au final, c'étais cet cervelle de souris le fautif, sans oublier ses sbires, non ? En tout cas c'est ce que mon témoignage affirmerait et celui de ma bande aussi bien que pour 60% Il dormait profondément. Il m'approuve toujours de toute manière.   La jeune féline écaille c'était roulées en boule sur une litière du côté de l'entrée et me lorgné d'un oeil curieux et assez dur, j'commençais à l’apprécier. Je sortis d'un air moqueur enfin plus taquin: 

" Viens plutôt là, dans le fond, pourquoi te choisir les litière dans le coin des loozer quand on arrive en beauté. " J'affichais un petits sourire narquois avant de décréter plus sérieusement même si ce léger ton dans ma voix et mon expression de visage ne c'étais pas évaporé: " La dès que le vent souffle plus fort que d'habitude ou dans la direction opposé t'as tout les courants d'air froids. Franchement ça sers à quoi de faire la loi pour avoir le bas prix ? [b style="font-size: 13px;"]Ici t'es à l'abri du vent en toute circonstance." [/b]

Je me lève et vire le matou qui dormait à côté ou presque de moi, sans la moindre gène. Ce n'est pas que je l'avais sur ma mauvaise liste mai il n'étais pas non plus de ce qui dans le meilleurs des cas pouvaient me servir. Alors en dessous dans la la hiérarchie, il laisse ça place à un nouveau plus intéressant.  J'avance vers elle et lui propose d'un signe de la queue la litière dont le matou c'était fait chassé et lui dit amicale, mais laissant transparaître de l’autorité: