Un dia con tu ♪

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~ El roso sol ~

Le soleil Rose. Au petite lueur du matin dans ce ciel sombre la lueur pâle d'un soleil coloré d'un doux rose saumon, volaient des centaine de petits oiseaux chassant pour la dernière fois avant la tombé du soir, les petit insectes ailés. Pendant ce temps les chants des cigales s'entamer et la vie du clan s'entamer: chacun se réveiller, déjeunaient avec entrain et partais pour la chasse, les patrouilles, l'entrainement pour la plupart le sourire au coin du museau. Pour ma part, mes patients dormaient, mes remèdes étais tous en ordre ( j'en étais satisfaite ) et j'étais agréablement surprise de cet emplois du temps dégagé. Une ancienne, avec qui j'étais plutôt amie arriva et me salua chaleureusement, elle me dit gentiment: " Si tu veux sortir je surveille tes malades, tu mérite bien un peu de repos." Il aurait était stupide de refuser et la gratifia de quelque sympathique paroles avant de partir. Je trottinais vers la tanière des guerriers et sortis sans gène Griffe de Pluie de son sommeil qui je le savais aurait pus domir jusqu'au zénith sans même que la journée passée soit épuisante.

" Debout la dedans ! Tu devais m'aider à réviser mon combat t'as d'jà oublier ? "

Je lui donne un coup de museau affectif dans le coup, un petit sourire taquin accroché à mes babine blanche. Je le fixe de mes yeux océan limpide et étincelants, bien décidée à le faire bouger. Je m'assois attendant qu ce dernier soit paré, j'en profite pour re-lustrer ma douce fourrure couleur neige que j'avais à peine toiletter avant et dont quelque épis rebelle partaient à droite et à gauche n'importe comment. Il ne bougeais toujours pas alors comme étant enfant je le secouais un fois de plus comme impatiente d'aller jouer avec mon meilleurs copain.

La clairière était sombre, zébrée par endroit de rayon de lumière foncé, qui ne m'apportait aucune lumière. Ma vue était floue et cet élément m’empêchait de voir ce qui se passait autour de moi. Il y avait des murmures, très neutres et si doux qu'ils en étaient incompréhensibles. Mon corps reposait mollement sur l'herbe courte et roussie par le soleil d'été. Je me redressai, tant bien que mal, avant de retomber sur le sol. Mes forces m'abandonnaient. Cependant, ma vue, elle, s'éclaircissait. Un cercle d'autres félins m'entouraient. Il m'était impossible de voir leur visage, seules leurs ombres m'apparaissaient. Qui étaient ils ? Que voulaient ils de moi ? Je voulu parler mais aucun son ne passa mes lèvres. La panique commençait à me prendre. Incapable de bouger, de parler. A tout les coups, j'étais sous l'influence d'une plante qui avait eu ces effets dévastateurs sur moi. Mon cerveau bouillonnait, tentant avec désespoir de trouver un moyen de me sortir de là. Il y eu du mouvement. Un chat s'approcha de moi.

« Debout la dedans ! Tu devais m'aider à réviser mon combat t'as d'jà oublier ? »

Quoi ? Je ne comprenais vraiment rien du tout à la situation. Plus surprenant encore, il me donna un coup de langue affectueux dans le cou. Avant que je n'en sache plus, tout se mit à trembler autour de moi, comme si on secouait le décor autour de moi. Un tremblement de terre ? Un cataclysme ? C'était la fin.
J'ouvris les yeux. Enfin. Petit à petit, la tanière des guerriers m'apparut et la vérité s'imposa alors : je rêvais. J'étais soulagé que cette scène ne fut pas réelle. Je me roulais sur le dos en soupirant de soulagement. C'est là que je vis Papillon Gelé. C'était donc elle qui m'avait sortie de mon cauchemar. Effectivement, les paroles correspondaient. Je lui avais promis de lui apprendre quelques bases de combats. En échange, elle me donnerait rapidement les fondamentaux de l'art des plantes. Peut être que je pourrais lui demander si il existe un végétal qui paralyse celui qui le mange ? Connaissait la complexité et le sadisme de la nature, j'étais sur et certain que sa réponse serait oui. Je me levais doucement, m'approchai de la guérisseuse et posai ma joue contre la sienne.

« J'ai fais un cauchemar horrible. J'étais dans une clairière, entouré de chats dont je ne pouvais pas voir le visage et incapable de faire le moindre mouvement... » Je me reculai de quelques pas, la regardai et lui fit un sourire. « Merci de m'avoir réveillée ! Où veux tu aller pour cette petite leçon de combat ? »

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Je lui adresse un gentil sourire compatissant avant de lui dire d'une voix sympathique et douce :

♦ Ne t'en fais pas c'est sans doute parce que tu cogites trop que tu fais tant de rêve dérangeant, ton inconscient reprend et ta journée et tes pensées pour nourrir tes songes.

Je lui donne alors une pichenette amical sur le coins de l'oreille gauche avant d'adresser un clin d’œil à ce dernier. Je me lève, et me dirige sur la sortie, je fus étonné de voir comment en si peu de temps passé à l’intérieur d'un lieu qui n'étais même pas si sombre que ça, je puisse être autant éblouis par la lumière du jour, d'un soleil flamboyant dans la couleur des braise ardentes, vers la fin de son réveille, presque paré pour sa course dans le ciel jusqu’à se qu'il retombe de l'autre côté dans cette même couleur. Je me retourne vers le grand matou couleur cendre et aux yeux d'un gris-bleu profond et lui souris avant de lui répondre, trois heure après je l'accorde :

♦ Si tu es d'accord à la Source Étoilée, c'est important hydratation par grande chaleur. Hin ?

Et un clin d’œil en plus à se demander si ce n'étais pas devenu chez moi un tic. En tout cas si on aller la bas il était hors de question de ne pas manger avant, parce que oui la guérisseuse que j'étais savait très bien qu'en cas de manque d'eau et de nourriture, par un temps pareille le malaise était d'ordre. Je lui fit signe de se presser et du bout de la queue désigna la direction de la pile de gibier avant de quitter la pièce. Je me dirigeais vers le lieux ou ce trouvais la nourriture traînant les pied sur le sol soulevant un fin nuage de poussière et arrivé la où je me rendais je choisi une pie assez petite pour l'espèce mais bien grosse pour mon ventre, sachant qu'il n'y aurait pas trop de viande mon un estomac en famine comme le mien. Durant cette saison j'étais la seul à me presser entre les bobos et les insolation quand les autres ramassait le gibier à la pèle, s’entraînait de bon cœur et ne se souciait pas du manque de gibier, du coup le temps de manger ou me reposer était finement compté. Je soupirais et m'installa à l'ombre d'un arbre et lutta pour ne pas commencer mon repas avant que Griffe de Pluie n'arrive.

« Ne t'en fais pas c'est sans doute parce que tu cogites trop que tu fais tant de rêve dérangeant, ton inconscient reprend et ta journée et tes pensées pour nourrir tes songes. »

Papillon Gelé ajouta à sa phrase un gentil sourire et une pichenette amicale sur mon oreille. Elle me connaissait et elle avait raison : je réfléchissais bien trop. C'était très compliqué pour moi de ne pas le faire, j'étais tellement habituée à décortiquer mes pensées, à philosopher sur chaque aspect de la vie, à tenter de trouver le bon chemin parmi le labyrinthe des décisions. J'aurais aimé pouvoir me laisser aller à la légèreté, mais je ne possédai pas ce trait de caractère. Je me sentais bien dans ma peau, malgré ses quelques cauchemars de temps en temps. Celui que je venais de faire n'était pas le premier et ne serait certainement pas le dernier. Sur ces pensées quelque peu fatalistes, je m'étirai les muscles du dos.

« Si tu es d'accord à la Source Étoilée, c'est important hydratation par grande chaleur. Hin ? »

La Source Étoilée... J'aimais beaucoup cet endroit. Il était plein d'apaisement, de beauté et de tranquillité. C'est vrai qu'il faisait très chaud et qu'avoir un point d'eau à proximité de notre lieu d’entraînement serait un bon point. Combattre, même seulement revoir les bases, était fatiguant et très demandeur en énergie. J'avais hâte de voir comment se débrouillait mon amie guérisseuse dans les techniques de combat. Il était possible qu'elle me surprenne, qu'elle m'épate même. Je levai les yeux vers elle et vit qu'elle m'observait avec empressement. Elle me désigna la pile de gibier. Je souris et sortis de la tanière des guerriers. Mon ventre commençait à se faire entendre, il était effectivement temps que je mange. Je laissai mes yeux courir sur l'empilement des proies avec une seule et unique question en tête : laquelle prendre ? Un oiseau assez dodu attira mon attention et ce fut celui ci que je choisis pour calmer ma faim de loup. Je le pris entre mes crocs et allai ensuite m’asseoir à l'ombre pour le déguster. La viande était tendre et agréable pour le palais.

« Dis Papillon Gelé. Il existe une plante capable de paralyser celui qui la mange ? De l'empêcher de bouger et de parler ? Sans le tuer cependant ? »

Ma question était en rapport avec mes songes de la nuit. Un tel végétal pouvait être une source de pouvoir énorme pour celui qui l'utilisait. Je ne comptais pas m'en servir mais comment reconnaître cette plante ou cette fleur si quelqu'un tentait de l'utiliser contre moi ou contre quelqu'un d'autre ? J’espérais de tout cœur que cela n'existait pas mais la nature possédait tellement de ressources, à la fois bénéfique et malsaine, que c'était presque comme si elle m'avait déjà oui. Dans les coins les plus sombres et les plus touffus de la forêt, il y avait de quoi soigner nos camarades mais également de quoi tuer notre prochain. Pourquoi avoir mis à notre disposition de quoi nous faire du mal mutuellement ?

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• Dis Papillon Gelé. Il existe une plante capable de paralyser celui qui la mange ? De l'empêcher de bouger et de parler ? Sans le tuer cependant ? • Je fus surprise par sa question. Elle avait sans doute un rapport avec sont cauchemar de tout à l'heure, qui sais. Je répondis honnêtement à la question. Pourquoi ne pas le faire ? • Et bien pas vraiment mais il y a les graines Digitales. C'est dangereux mais ça peux aider le cœur comme cela peux lui entraîner un insuffisance au niveau de ses pulsions et une paralysie . • J'avale la dernière bouché de mon déjeuner et me lave la frimousse à l'aide d'un peu d'eau déniché dans une flaque plus loin avant de revenir vers mon camarade qui finissais lui aussi son bout de gibier. J'affiche un grand sourire sur mon visage accompagné d'un ronron amical avant de lui donner une pichenette sous le menton avec le bout de ma queue. Je déclare alors : • Et si on bouger avant que la chaleur ne débarque ! Aller, une, deux, une, deux, va m'attendre à la sortie je vais laisser des instructions en cas de problème durant mon absence. • Je cavale vers la tanière d'Etoile Éphémère qui ne s'y trouvais pas, ce qui me fit lâcher un soupire agacé, je n'avais pas envie de la chercher. Au final j'ai parler au lieutenant et aux anciens, indiquant remède de premier secours et l’endroit où je me trouverais. Sur ce je les quittais avant d'aller retrouver mon camarade à l'entrée en traînant les pattes au sol, une mauvaise habitude que j'avais prise et en essayant de me remémoré les quelques techniques de base que l'on m'avais appris il y avais déjà longtemps. Quand le soleil avait rapidement délaissé son manteau rose-orangé, la chaleur s'élevé dans l'air alors qu'il était encore tôt, la journée s'annonçais lourde et écrasante.

PS : Je te laisse me faire arriver et nous faire partir. C'est pas long et c'est nul mais j'étais pas vraiment inspirée sorry.

« Et bien pas vraiment mais il y a les graines Digitales. C'est dangereux mais ça peux aider le cœur comme cela peux lui entraîner un insuffisance au niveau de ses pulsions et une paralysie . »

Elle m'avait répondue presque aussitôt et ne posa aucune question sur mon interrogation. J'étais content de pouvoir compter sur elle de cette façon. Depuis que j'étais petit, elle avait toujours été là pour moi. Quand mes frères avaient disparu et que ma mère, sombrant dans une folie pure, s'en était allée pour les chercher, je me souviens encore de mon amie, toute petite et déjà si blanche, demander à sa maman à elle si elle pouvait prendre soin de moi. Papillon Gelé avait toujours été comme une sœur que mon cœur aurait choisi. Nous nous étions vu grandir tout les deux et même le fait de ne pas avoir choisi la même voie ne nous avait pas éloignés. Je pouvais me reposer sur ses épaules depuis toujours et en toute circonstances. Et elle savait que je ferais le maximum pour elle également.

Les graines de Digitales donc. Ce nom me disait vaguement quelque chose, j'avais du l'entendre au cours d'une conversation. C'était étrange qu'une plante censé vous guérir puisse également vous tuer. Cette pensée faisait peur mais le bénéfice était sûrement plus important que le risque. Il fallait être sur de son coup au niveau de la dose à donner. Comme quoi, la nature peut être votre meilleure amie en vous donnant de quoi vous guérir mais elle peut être votre pire ennemie si vous ne savez pas utiliser avec précaution ce qu'elle vous offre. La vie est fourbe et sadique, un faux pas, une petite minute inattention peut vous coûter votre santé, votre bien être, voir votre existence.

« Et si on bouger avant que la chaleur ne débarque ! Aller, une, deux, une, deux, va m'attendre à la sortie je vais laisser des instructions en cas de problème durant mon absence. »

Je souris à la guérisseuse. Tandis qu'elle partait donner ses indications, je me levai et me dirigeai vers la sortie du camp. Le soleil commençait à prendre une certaine hauteur et à chauffer notre territoire. Il était tôt mais déjà on pouvait ressentir la chaleur qui écrasait l'atmosphère. Il faudrait porter une attention toute particulière aux chatons et aux anciens, les plus touchés par la chaleur et le manque d'eau. Le sol sous mes pattes était sec, craquant. Les arbres, les buissons et les herbes étaient roussis, voir même grillés par l'astre jaune. Notre environnement flanchait sous la chaleur. Quand Papillon Gelé me rejoint, nous partîmes enfin. J'avançai à petites foulées, gardant un œil sur la chatte blanche près de moi. En silence, nous avancions vers la source étoilée. Nous y étions presque quand je commençai a entendre le doux clapotis de l'eau. Sans hésiter une seconde, je partis me désaltérer. Puis, je m'assis, à l'ombre d'un grand arbre et observai mon amie.

« Tu préfère commencer par l'attaque ou la défense ? »

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« Tu préfère commencer par l'attaque ou la défense ? »Me dit Griffe de Pluie, une fois qu'il fut désaltèré après notre arrivé à la source ou les glouglou de l'eau chantaient des paroles mélodieuses et délicates. Des oiseaux passant dans le ciel en piaiant et des cigales chantant, le bleu du ciel virais au gris, mais aucun signe de pluie à l'horizon. Je haussais les épaules d'un air insouscient en déclarent machinalement :"Défense ? De toute façon nous ferons les deux."Je me m'écartais de lui et me mit en position attendant signal ou conseil, la queue battant l'air, le regard vif, consentré et impatiente.

Je suis au point mort de l'inspi mais je voulais pas bloquer le RP ...

"Défense ? De toute façon nous ferons les deux."

Se défendre. A ces mots, mes pensées s'en allèrent des lunes en arrière, quand Nuage de Pluie était encore mon nom. Mon mentor, Cœur de Roi, un grand guerrier selon moi, avait tout de suite compris et accepté mon avis sur la combat. J'avais appris auprès de lui à neutraliser et pas tuer, à sauver ma peau au maximum et pas à lancer l'offensive. Cependant, j'avais appris à attaquer également, à me servir de mes atouts : comme ma taille et mon poids. C'était une bonne idée de revoir les bases du combat avec Papillon Gelé. Cela lui servirait forcément un jour. Et je serais rassuré à l'idée de savoir que ma chère amie serait capable de protéger sa vie si je n'étais pas là pour le faire. Remarque, me battre un peu ne me ferait pas de mal non plus. L'entraînement était la clé de la réussite. Il fallait se tester. Parce que le jour où un réel adversaire serait face à vous, c'est votre vie qui sera mise en jeu. Votre existence, votre avenir, votre cœur qui bat dans votre poitrine.

Sur ces pensées, je fis comprendre à la guérisseuse que j'étais d'accord de faire de la défense. Je la regardai s'éloigner de moi et se mettre en position. Je me mis à réfléchir à comment lancer l'attaque pour voir ce qu'elle savait faire. Elle était face à moi, me regardait. Je ne devais pas passer toutes les actions possibles en revue : dans un vrai combat, il fallait agir rapidement et efficacement. C'est ainsi que je devais faire aujourd'hui également ! Alors, je fis un saut rapide sur le côté pour me retrouver à la gauche de Papillon Gelé et je bondis, en visant son épaule.

(J'ai du mal avec l'inspi aussi !)

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